• Et bien nous sommes le 26 mais tout de même je voudrais vous souhaiter avec un peu de retard : 

    JOYEUX NOËL !

     



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  •    C'est une série de romans écrite par Pierre Bottero et Erik L'Homme. Le tome 1 s'intitule, La pâle lumière des ténèbres aux éditions Gallimard jeunesse/Rageot éditeur .

       J'ai commencé à lire le tome 1 mercredi et je suis au tome 3. Autant dire un livre par jour. J'aime bien lire mais il est quand même rare pour moi de terminer un livre par jour et surtout d'enchaîner!De plus, ce sont des livres penchant sur le fantastique (j'ai du mal avec ce genre de livres).

      Ces romans sont assez courts et accessible (au niveau de la langue). J'ai bien aimé le style d'écriture. L'histoire est simple mais prenante. Les personnages sont attachants et stylés!

       Alix



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  • Une petite nouvelle, je ne sais pas si vous allez apprécier mais j'essaye...Alix

    Les faits doivent être d’une vérité et d’une précision très approximative car ils parlent de souvenirs lointains…

     

            Lundi matin, il fait moite et l’air est lourd. Je suis toute prête, toute belle, avec le cartable à roulettes fushia que l’on a acheté avec Maman cet été. Nous prenons le taxi, mon père, ma mère, moi, et peut-être mon frère. La ville est déjà très animée, les benskines (motos-taxis) se frayent un chemin entre les trous de la route qui sont très nombreux et profonds, les taxis jaunes bondés et toutes sortes de 4X4 rutilants. Et moi, serrée entre mes parents, je regarde ça d’un air sérieux avec de grands yeux pétillants et émerveillés.

       Nous arrivons. Nous descendons en vitesse. Nous découvrons un bâtiment en forme de U de deux ou trois étages. Au milieu, une cour de goudron. Au sol, six couloirs, destinés à la course de relais, sont marqués de peinture blanche. Dans mon souvenir, il n’y a personne mais il doit forcément y avoir des gens… L’air est toujours aussi moite et chaud. Le ciel est d’une blancheur rare avec des nuages d’un gris assez pâle.

        Nous nous dirigeons vers une salle au rez- de- chaussez, côté des toilettes. Là, devant la porte, une femme. Une femme pas très grande, avec un ventre prononcé. Une femme blond cendré, avec des yeux marron-vert, un visage arrondi, des lèvres plutôt charnues, avec une tunique cache-cœur (j’aime beaucoup les cache-cœur !), un pantalon kaki, des sandales décathlon, se tient accueillante, sourire aux lèvres.

         Mon cœur se sert et s’accélère. Ma main dans celle de mon père, aussi, se sert. Nous entrons. La salle est spacieuse et lumineuse. Sur le mur en de nous, de grandes fenêtres coulissantes, nous donne vue sur un petit espace vert, avec au milieu une paillote (mais à cette époque je ne sais pas, encore, comment cela s’appelle.) et sur le côté contre le mur, une dalle en béton. Je ne me souviens pas de l’utilité de cette dalle.  En dessous des fenêtres, des portes-manteaux. Sur le mur à notre droite, un tableau, en dessous, un grand bureau. Je ne me rappelle pas s’il était encombré ou nu, mais j’imagine qu’il y avait tout de même des affaires. En face de ce meuble, des bureaux plus petits. Sur le mur à notre gauche, un tableau mes souvenirs débattent, aujourd’hui, pour savoir s’il y a une table basse pour les activités manuelles.

        Nous avançons un peu plus. Je sers de plus en plus fort la main de mon père. La dame souriante nous fait visiter les lieux. Elle nous explique tout. Mes parents commencent à parler avec elle. Ils me proposent d’aller me « frotter » aux autres. Je me colle encore plus à eux. Ils parlent. Ils continuent à parler… Ils continuent toujours… Au bout d’un moment, ma mère regarde sa montre, elle fait signe à mon père. Une expression d’urgence se lie sur leur visage. Vite, ils doivent y aller. Je ne veux pas qu’ils partent. Ils y vont quand même ! Ils se retrounent une dernière fois en souriant, je leur crie de toutes mes forces, en fondant en larme :

    « Je ne veux pas ! Je ne veux pas ! Je ne veux pas aller en C.P. ! Non, je ne veux pas… »  




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  • Donc je vais vous parlez du livre Je me souviens Rebecca de Nathalie Somers paru aux éditions Nathan poche/histoire.

    Ce roman ce déroule pendant la seconde guerre Mondiale, dans le Sud de la France, dans la région cévenole. C'est l'histoire d'amour(un peu naïve) entre André, 14ans, fils de paysans et Simone, c'est une couverture, (dite Rebecca par André), d'origine juive, réfugiée. Région cévenole, donc, protestante. Les protestants, menés par le pasteur, mène une résistance pacifique.

    Magnifque. L'histoire d'amour est le fil conducteur mais elle ne prend pas toute la place. C'est surtout une histoire d'amitié, de découverte très potique entre les deux personnages. Mais l'auteure laisse place aux autres personnages, à la vie des paysans, à leur quotidien. Ce livre, touchant et réaliste, que je vous insite à lire!

    Alix

     




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